« On notera surtout qu’un « propos » ne peut devenir officiellement « non parlementaire » que s’il a été prononcé au Parlement et que le président de la Chambre l’a jugé tel. Un élu peut donc, pour l’instant, traiter un de ses adversaires de « pédé », de « nazi » ou de « fasciste » — mais pas de « boucher de Charlesbourg » ou de « mousquetaire de Joliette ».» – Lire l’article
Depuis 1984 il existe à l’Assemblée nationale une liste des «Propos non parlementaires» qui compte plus de 300 mots et expressions. Benoît Melançon décortique cet index dans un article du Devoir publié le 23 septembre.